Götterdämmerung
Opéra

Troisième jour du festival scénique ‹Der Ring des Nibelungen› de Richard Wagner

Malheureusement terminé

  • Env. 5 heures 40 minutes avec deux pauses
  • Intéressant pour les personnes à partir de 14 ans
  • En allemand, avec surtitres en allemand, with English surtitles

Fin et nouveau départ

Les Nornes annoncent la fin imminente du règne des dieux : la lutte pour l'Anneau entre dans sa dernière phase. La mort du héros Siegfried conduit Brünnhilde à prendre la décision de mettre fin pour toujours au système de pouvoir de Wotan. La fin marque un possible nouveau départ. La quatrième partie de ‹Der Ring des Nibelungen› est l'œuvre la plus longue de Richard Wagner et un opéra-rituel incomparable. De grands monologues et les passages orchestraux les plus impressionnants de tout le cycle se combinent dans ce final.

Avec l'aimable soutien d'IG Ring

En collaboration avec la dramaturgie, le centre culturel bâlois Bider & Tanner organise depuis de nombreuses années la table des livres pour nos pièces. Désormais, cette sélection de livres, CD, DVD, catalogues ou encore partitions est accessible à tout moment dans la boutique en ligne. Cela vaut la peine d'y jeter régulièrement un coup d'œil.

Table des livres

Mediathek

Les Filles du Rhin (Harpa Ósk Björnsdóttir, Valentina Stadler, Sophie Kidwell) sont pleines d'un éclat idéal, les Nornes, dans leur apparence pleine de grandeur déglinguée, sont une merveille, surtout Jasmin Etezadzadeh. Rolf Romei, dont la voix est certainement pleinement exploitée, conserve jusqu'à la fin à son Siegfried l'aura d'un enfant juvénile, Günter Papendell chante Gunther comme un gant de toilette incisif, Patrick Zielke est un Hagen d'une grande puissance.

Süddeutsche Zeitung

[...] Jonathan Nott fait couler la musique de Wagner à flot.

Theater der Zeit

Les exigences posées à l'orchestre sont immenses dans l'installation d'entraînement de Bâle. Il se trouve en effet sous terre, à Nibelheim pour ainsi dire. L'espace est étroit et l'opéra long. [...] Le son est équilibré, les groupes d'instruments et les passages solistes sont étonnamment clairs.

Basler Zeitung

Comme le compositeur qui avait écrit le livret du ‹Götterdämmerung› sous le nom de «La mort de Siegfried», le metteur en scène pense le «Ring» à partir de la fin.L'émancipation de Brünnhilde de son père patriarcal Wotan, qu'il a voulue, fait d'elle le personnage central du concept de mise en scène (co-régie : Caterina Cianfarini).

Neue Musik Zeitung

La surprise de la soirée est [...] Patrick Zielke dans le rôle de Hagen, qui le rend sombre, méchant et vocalement attrayant avec des basses pleines et chaudes.

Online Merker

L'exigence d'un Ring du point de vue de Brünnhilde qui regarde en arrière se réalise à Bâle.

Oper!

Ceux qui soupçonnaient déjà Benedikt von Peter de s'intéresser toujours un peu plus à l'étude psychologique profonde des caractères qu'à la musique en auront la confirmation dans le «Ring».

BZ Basel

L'Anneau du Nibelung' :