Doktor Watzenreuthers Vermächtnis – Ein Wunschdenkfehler
Théâtre

Malheureusement terminé


  • Première représentation
  • Intéressant pour les plus de 14 ans
  • With English surtitles (except for the first)
  • 1 heure 50 minutes sans entracte

Un nouveau cas pour Christoph Marthaler

Christoph Marthaler invite à la table de conférence. Car c'est là que l'on trouve le docteur Watzenreuther. Ses conseils sont demandés aussi bien lors des fêtes de famille que lors des réunions du conseil d'administration. Et ce, surtout en temps de crise. Le docteur Watzenreuther est un maître du diagnostic vague et parle d'expérience. Car son propre héritage idéel et financier est discrédité. Pour sa nouvelle création, Christoph Marthaler part sur les traces d'une identité difficile à cerner et reconnaît une fois de plus le système qui se cache derrière.

Grande offre de Pâques

L'action ‹2 pour 1› est valable pour certaines représentations pendant les vacances de printemps, du 12 au 26 avril. Pour ces représentations, vous recevez deux billets dans les catégories A à D pour le prix d'un. C'est donc la meilleure occasion de voir enfin les pièces que vous n'avez pas encore vues ! Il en est ainsi.

Osterdeal 2025

Mediathek

Beaucoup de choses dans la nouvelle invention théâtrale de Christoph Marthaler, ‹Doktor Watzenreuthers Vermächtnis – Ein Wunschdenkfehler›, nous semblent familières : la plupart des acteurs, la musicalité stupéfiante des déroulements, la liberté des associations. Et pourtant, cette fois-ci, certaines choses sont différentes, plus méchantes, plus sombres.

Süddeutsche Zeitung

Pour cela, Marthaler peut compter sur une troupe formidable: Marie Löcker avec son visage fiévreux, Vera Flück avec son rire féroce, Ueli Jäggi avec son nez retroussé, Raphael Clamer avec un solo de batterie démentiel sur tout ce qui est disponible dans la pièce. Carina Braunschmidt fait un «vœu de silence» éloquent et Peter Keller est un valet de chambre sec comme la poussière.

Nachtkritik

Le décor est superbe et réserve de nombreuses surprises. Les personnages sont comme toujours grandiosement grotesques et il y a aussi des moments slapstick, tragico-comiques.

SRF 2 Kultur

Dans la pièce de Marthaler, le pouvoir, invoqué dans des répétitions idiotes des mêmes phrases, gestes et scènes, est avant tout passé.C'est la rhétorique vide des politiciens et des hommes d'hier, qui se délectent de la vue de leurs arbres généalogiques et qui, comme un disque rayé, répètent sans cesse les mêmes slogans détournés. Il y a là un comique révélateur, en même temps qu'une atmosphère de fatalisme, d'absurdité, de bureaucratie et d'apathie est créée sous la forme de la parodie.

Frankfurter Allgemeine Zeitung

(Une soirée Marthaler) que l'on ne peut définitivement pas calculer.

Deutschlandfunk Kultur

La soirée s'est distinguée par son caractère politiquement et socialement explosif, qui transparaît à travers le nuage divertissant.

SDA

La pièce irrite et brise les attentes - comme cela devrait être le cas au théâtre.

Basler Zeitung

Une urne sonne à 6/8 et l'obligatoire chœur Sotto-Voce s'empare de «0 mio babbino caro» pour en faire une complainte qui tourne à la parodie grotesque : bienvenue au traitement des racines dentaires chez le Dr Puccini ! C'est dans des moments comme celui-ci que le casting surdoué montre comment divertir - et prouve son sens du timing. Aucun gag ne revient trop souvent, aucun silence ne dure trop longtemps. Pendant ce temps, l'effet d'un geste minimal est célébré. La tête se penche, l'ambiance s'effondre. Du grand cinéma.

BZ Basel

Depuis ses débuts, Marthaler est un maître des sentiments refoulés, des ressentiments avalés.Face aux crises politiques actuelles, ses créations prennent soudain une nouvelle acuité.

Südkurier

Marthaler n'a jamais été que drôle ou comique.Depuis ses premières soirées de chants de soldats à Bâle, ses productions ont toujours été empreintes d'un désespoir silencieux. Il y a toujours eu ce sens aigu du pré-, du post- et du crypto-fascisme. Mais ses images théâtrales n'ont jamais été aussi amères et sombres que cette fois-ci.

NZZ

Plus au Schauspielhaus: